[Phylias]

Je ne connus pas mes parents, mon père n'a jamais donné signe de vie, ma mère s'est contenté de nous donner la demeure de la famille, a moi et a ma soeur, Sethymos, douce et merveilleuse Sadidette, qui fût comme une mère, qui partageait son lit quand je ne trouvait pas le sommeil.

Dans la demeure ou nous vivions, j'avais interdiction de monter dans le grenier, pour ne pas réveiller le monstre qui y sommeillait.

Un soir ou Sethymos sortait avec un charmant féca dont elle semblait amoureuse, pendant son
absence, j'en profita, malgres la peur qui dominait mes mouvements, pour monter au grenier. Je poussa doucement la porte, et entra dans la salle sombre, la lanterne a la main ... Aucun monstre, juste une lettre, posée sur une table, elle était scellée et adressé a ... Moi, je pris la bougie de la lanterne et fut fondre la scellée, puis je commença a lire la lettre :



Peu après, je tomba dans un sommeil profond, jusqu'au moment ou Sethymos me réveilla et me demandant :
- Mais, que faisait-tu endormis, sur les marches de l'escalier.
- Je ne sais pas, tu es rentrée tard, j'ai du m'endormir.
- Tu n'ai pas allé dans le grenier, j'espère.
- Non, je n'y suis pas aller.
- Tu ment, tes pupilles sont dilatées, tu as lu la lettre de papa.

Le lendemain, Sethymos était partie, j'ai senti comme un grand vide dans
la maison, Sethymos et sa tendresse me manquait, ses caresses, ses baisers, je ne les aurais plus jamais, mais pourquoi suis-je aller dans
ce maudit grenier ?

Je sortis dehors, s'agenouilla devant lephoenix et commença a tirer la pierre fondatrice de la statue. La
pierre était vide, et contenait une deuxième lettre.



La L...., mais qu'est-ce ???, sur ces pensées, je courus vers la porte du grenier, des signes étranges « ĻħõöΦ
VϊŅСяά ». La Lhoöq, c'est ça, papa m'en avait parlé.

Une haine grandissait en moi, je ne savais pas pourquoi, une haine qui m'attirait corps et âme vers les rangs de la Lhoöq, plus par obligation, mais par besoin.

Je devenais un homme, qui se doit de rejoindre une des milices, j'ai choisi la cité du Bien, Bonta. Brakmar me dégouttais profondément après ce qu'elle a fait a ma famille, selon Sethymos, Brakmar est a l'origine de la mort de mon père et de mon abandon par ma mère. Bien que les idées bontariennes n'étaient pas les miennes, je devais, m'engager dans la milice bontarienne.

Chaque nuit, un meurtre, on m'appelait a tuer, je ne sais pas qui, mais l'on m'appelait. Jour après jour, l'enquête avançait, jusqu'au jour où je fis amené en prison, celle que je surveillait quelques heures auparavant. J'avais trahi ma propre cité, j'avais tuer des innocents, mais qui ai-je ecouter pour être amener a faire de tels actes.

La nuit tombait et je savais très bien qu'au lever du soleil, je serai sur la place publique, exécuté par le bourreau.

Un homme cagoulé me secoua pour me réveiller, et je vu ma vie défiler, c'était la fin ...

Hé, toi... Phylias ...
Oui, j'arrive.
Viens vite, les miliciens vont pas tarder.
Mais qui es-tu, toi ?
Quelqu'un ... Viens, je vais te sortir d'ici.

Dehors, le calme nocturne, a part quelques miliciens qui buvais leurs VodCra, il n'y avait personne, a peine sortis de Bonta, nous prîmes le transport brigandin direction Brakmar.

Bannis de Bonta, recherché par sa milice ... Je devais rejoindre les rangs de la milice brakmarienne, ou je deviendrai espion.

Sethymos, revenant de ses chimères, m'avoua une chose qui allait changer ma vie, Ultimabuster, notre mère avait eu un enfant, un sram qui avait rejoint une organisation anti-naturelle ... C'est pourquoi, mon propre père voulait que je l'infiltre et que je le retrouve pour le tuer.
Mais, selon de nombreuses personnes, ce sram, serait déja mort.

Mon père m'avais demander de rejoindre la Lhooq pour se venger, maintenant décus de ne servir que de tueur a gage, il n'étais plus question de rejoindre la Lhooq.

[HRP] Je n'ai pas recu suite de mes MP au représentant de la Lhooq, je suis découragé, et en plus, la Lhooq n'est pas ce que l'on decrit sur le SITE ITV [/HRP]

Au cours de mes aventures dans le monde d'Amakna, je fis la rencontre de Pequena, jeune sacrieuse aussi belle qu'un déesse.

Chaque soir passés avec elle, au beau milieu des abraknydes, une complicité s'installait ...

Oto mustam, fier de m'avoir parmi ses rang décida, lors d'une veillé en l'honneur de Djaul, de me confier un travail de longue haleine, et tres dangereux, mais si bien rémunéré.

J'étais maintenant Espion, infiltré dans la milice Bontarienne, je bénéficiait du Zaap de Bonta, de ses services ... tout en étant Brakmarien.